C’est notamment, les victimes des massacres de Kasika dans le territoire de Mwenga, Mutarule, Katogota et Kiliba dans territoire d’Uvira, celles de Makobola en territoire de Fizi, tous dans le ressort judiciaire de Kamituga mais aussi les victimes de Kavumu en territoire de Kabare et celles de Katasomwa dans le Kalehe doivent avoir l’assistance judiciaire et financière pour leur réparation.
Ce sont là, les recommandations des participants de l’atelier sur l’accès à la justice et au droit à la réparation des victimes de violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité, organisé du 6 au 8 Juin dans la ville de Bukavu à l’intention des magistrats et avocats civils et militaires du Sud-Kivu.
Cette précision est du chef de village le capitaine magistrat AMISI RAMAZANI, chef du parquet militaire de Fizi – Baraka au terme de ces assises de trois jours organisées par le FONAREV.
Les recommandations des participants cadrent avec les objectifs de cette formation, le FONAREV n’accompagne pas les victimes qui ont choisis les voies administratives ou arrangements à l’amiables fait savoir le représentant du FONAREV, Me Gustave MASIALA, Directeur d’accès à la justice et aide au recouvrement.
La formation a été clôturée par la représentante du premier Président de la Cour d’Appel du Sud-Kivu empêché, Magistrate Nelly SEYA KAZADI, Présidente de la Cours d’Appel de Bukavu
Pascal MWINYI MASIMANGO